Le château d’eau d’Auray entame une phase importante de rénovation. Situé rue Parc en Escop, cet équipement présente des signes d’altération nécessitant une intervention. La communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique pilote ces travaux prévus sur six mois.
Le château d’eau d’Auray et son rôle dans le réseau hydrique
Le château d’eau d’Auray constitue un maillon essentiel du réseau de distribution d’eau potable. Sa position stratégique permet d’alimenter plusieurs quartiers de la ville et des zones périphériques. La structure, implantée rue Parc en Escop, fonctionne comme un régulateur de pression et un réservoir de secours.
Ce type d’infrastructure assure la stabilité de l’approvisionnement en eau, particulièrement lors des pics de consommation estivale. La capacité de stockage permet de faire face aux variations de demande tout au long de la journée. Sans cette réserve, le réseau subirait des fluctuations de pression préjudiciables.
Caractéristiques techniques du réservoir
Le château d’eau d’Auray comprend actuellement deux réservoirs distincts. Le projet de réhabilitation prévoit leur transformation en un seul volume. Cette modification optimisera la gestion des volumes d’eau et simplifiera la maintenance future.
- Localisation précise : rue Parc en Escop à Auray
- Fonction principale : régulation de la pression du réseau
- Rôle secondaire : réserve d’eau potable
- Zone desservie : centre-ville et secteurs adjacents
- Portée du chantier : six mois de travaux
- Maître d’ouvrage : Auray Quiberon Terre Atlantique
| Paramètre | Situation actuelle | Après travaux |
|---|---|---|
| Nombre de réservoirs | 2 | 1 |
| Capacité de stockage | Maintien de la capacité | Maintien de la capacité |
| État structurel | Signes d’altération | Intégrité restaurée |
Les altérations constatées et la nécessité d’intervention
Des inspections régulières ont révélé des désordres sur la structure du château d’eau. Ces signes d’altération concernent principalement les parties extérieures et les équipements techniques. La progression de ces désordres pourrait compromettre le bon fonctionnement à moyen terme.
La communauté de communes a programmé cette intervention préventive pour éviter une dégradation plus importante. Les techniciens ont identifié plusieurs zones nécessitant une attention particulière. La réhabilitation adresse ces problématiques avant qu’elles n’affectent la qualité du service.
Types de désordres identifiés
Les équipes techniques ont catégorisé les altérations selon leur nature et leur gravité. Cette analyse permet de prioriser les interventions et d’optimiser les méthodes de réparation. L’expérience acquise sur d’autres sites similaires guide cette approche.
- Dégradations des revêtements de protection
- Usure des équipements de régulation
- Vieillissement des systèmes de sécurité
- Obsolescence de certains composants
- Fissurations superficielles localisées
- Corrosion des éléments métalliques
Déroulement et planning des travaux de réhabilitation
Le chantier débutera lundi 20 octobre pour une durée estimée à six mois. Les travaux s’articuleront autour de plusieurs phases successives. Chaque étape fera l’objet d’un contrôle qualité rigoureux.
La transformation des deux réservoirs en un seul volume représente l’opération la plus significative. Cette modification structurelle nécessite des précautions particulières. La continuité du service public reste garantie tout au long du chantier.
| Phase | Durée estimée | Opérations principales |
|---|---|---|
| Préparation et sécurisation | 2 semaines | Mise en place du chantier, protections |
| Démolition sélective | 3 semaines | Suppression des éléments non conservés |
| Rénovation structurelle | 12 semaines | Consolidation, transformation réservoirs |
| Mise aux normes | 6 semaines | Équipements techniques, sécurité |
| Tests et validation | 3 semaines | Contrôles, remise en service |
Impacts sur l’alimentation en eau et mesures d’accompagnement
La communauté de communes a anticipé les éventuelles perturbations pendant la durée du chantier. Des solutions techniques garantissent la continuité de l’alimentation en eau potable. Les habitants ne devraient pas subir d’interruption de service.
Le secteur de Brec’h connaît occasionnellement des problèmes de pression lors de travaux similaires. Les équipes ont tiré les enseignements de ces expériences passées. L’organisation du chantier intègre ces retours d’expérience.
Dispositifs de sécurisation du réseau
Plusieurs mesures techniques et organisationnelles protègent le service pendant les travaux. La coordination avec les services techniques municipaux permet une réactivité optimale. Un dispositif de surveillance renforcée est activé pour la durée du chantier.
- Mise en place de déviations temporaires du réseau
- Installation de pompes de surpression si nécessaire
- Surveillance horaire des paramètres de distribution
- Cellule de crise opérationnelle 24h/24
- Information en temps réel aux abonnés
- Coordination avec les services d’urgence
Perspectives après la réhabilitation du château d’eau
La fin des travaux marquera une amélioration significative de la fiabilité du réseau. Le château d’eau restauré offrira une meilleure performance énergétique. Sa durée de vie sera prolongée pour plusieurs décennies.
Cette opération s’inscrit dans la politique globale de modernisation des infrastructures portée par Auray Quiberon Terre Atlantique. D’autres chantiers similaires sont programmés sur le territoire. L’objectif consiste à sécuriser l’ensemble du réseau d’eau potable.
Bénéfices attendus de la rénovation
La réhabilitation apportera des améliorations à la fois techniques et économiques. La simplification de l’exploitation réduira les coûts de maintenance. La fiabilité accrue du système limitera les risques de coupures.
| Aspect | Avant travaux | Après travaux |
|---|---|---|
| Fiabilité | Risque de défaillance modéré | Risque de défaillance faible |
| Coûts de maintenance | Élevés (réparations fréquentes) | Réduits (maintenance préventive) |
| Performance énergétique | Standard | Améliorée |
| Durée de vie restante | 10-15 ans | 30-40 ans |



